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1 dimanche en Chine

20 mai 2013

Zhuang XueBen

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(1909-1984), pionnier de l'image anthropologique de la Chine de la photographie documentaire

 

La Chine, dans les années 1930, a vu une floraison de journaux, de périodiques chinois et divers types de magazines hebdomadaires picturaux. En ce sens, il était essentiel que Zhuang Xueben, bilingue [chinois anglais] participe à cet essor. The Young Magazine picturale compagnie, dirigée par des intellectuels, ont vu dans la presse quelque chose qui pourrait toucher et donner lieu à un changement social. Fondée à Shanghai en 1926, dix ans avant le lancement de LIFE Magazine, le journal « Le jeune compagnon » a eu un impact énorme sur la création d'une culture visuelle moderne en Chine. Juste deux ans après sa fondation le magazine est accessible à tous. Il a été le premier magazine d’édition à publier Zhuang Xueben, intitulé «La recherche sur les minorités Qiang et Hong  » , l'importance de ses photographies  dans  l’histoire chinoise n'est pas seulement la qualité artistique des prises de vues, mais aussi une expérience de l'éthique et de l'observation.

La relation étroite entre Zhuang Xueben et « le jeune compagnon », dont les valeurs stylistique et social se sont étendues à l'ensemble du pays, a conduit au développement de nouvelles formes visuelles d'expression. Pour la première fois le reportage photo a été présenté au public dans son intégralité et, comme un éditorial dédié, marquant le début de son genre en Chine.

« Tous les âges et les histoires ont leurs terres vierges, territoires non tracée sur les cartes, sans relief dans la conscience commune ou éveiller les soupçons et les préjugés. » Zhuang Xueben

Ces terres vierges de la Chine dans les années 1930 étaient des régions éloignées aux frontières occidentales. Pourtant, ce jeune photographe passionné  a choisi de faire ces terres son sujet.

Né à Shanghai en 1909, Zhuang Xueben faisait partie de la première génération de chinois à faire des essais avec les outils d'une nouvelle communication visuelle, dans la «fabrique culturelle» de Shanghai. L'aventure de Zhuang Xueben colore les terres vierges de son temps, ses photographies fascinent et intriguent et sont une passerelle vers l’histoire cachée.

C’est en explorant les mondes de l'Ouest et la Chine des minorités ethniques qu’il Interprète avec une grande originalité le débat culturel de l'époque, le sujet de la modernité et la reconstruction de l'identité nationale.

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PumiGirl

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18 mai 2013

Guo Pei

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La Steampunk mode est considéré comme une interprétation moderne des idées fantastiques sur la base de l'histoire. Cette tendance d'influence et d'inspiration multiculturelle vu dans la mode steampunk est aussi le reflet de tendances de la mode d'aujourd'hui. La montée du designer chinois Guo Pei en est un exemple, elle a été bien connu dans les milieux de la mode chinoise depuis de nombreuses années, mais ses dernières collections créés un buzz à travers les pistes du monde, en particulier sa collection « 1002 Arabian Night ». Son travail représente une source d'inspiration mélangé, qui proviennent non seulement des célèbres contes arabes, mais aussi les influences de contes de fées classiques chinois mélangés aux classiques de l'Occident. Dans ces conceptions, de délicats motifs bleus et blancs  rappelant les vases Ming se mêlent aux riches imageries à plumes d'oiseaux et de motifs persans et aux décadents  styles Rocco et baroque. Combiné avec Pei vision géométrique frappante, sa collection haute couture est un mélange de fantaisies classiques, modernes et avant-gardistes.

« Le steampunk est au départ un genre littéraire. C'est à l'origine un sous-genre de la science-fictionuchronique, dont l'intitulé a été forgé par allusion au cyberpunk par l'auteur K. W. Jeter à titre de boutade[]. Pour cette raison, il est parfois plus approprié de parler de « rétrofuturisme » pour désigner le mouvement. L'expression steampunk, qui signifie littéralement punk à vapeur, parfois traduite par futur à vapeur, est un terme inventé pour qualifier un genre de la littérature de science-fiction né à la fin du XXe siècle, dont l'action se déroule dans l'atmosphère de la société industrielle du XIXe siècle. Le terme fait référence à l'utilisation massive des machines à vapeur au début de la révolution industrielle puis à l'époque victorienne. Mais le style steampunk quitta rapidement la seule sphère de la littérature pour s'étendre à d'autres domaines de création et d'expression et devenir un fandom autonome. »

« Le rétro-futurisme (adjectif rétro-futuriste ou rétrofutur) est une tendance dans les arts créatifs montrant l'influence des représentations de l'avenir produites avant environ 1960[]. Caractérisé par un mélange de l'imagerie « rétro » avec des styles technologiques futuriste, le rétrofuturisme explore les thèmes de la tension entre passé et futur, et les effets aliénants de l'autonomisation et de la technologie. Il se manifeste notamment dans le monde de la mode, de l'architecture, de la littérature et du cinéma. Il  intègre deux tendances qui se chevauchent, qui peuvent se résumer ainsi « l'avenir tel qu'on le voit dans le passé » et « le passé tel qu'on le voit du futur ». »

Guo Pei est devenu l'un des premiers créateurs de mode professionnels en Chine, en commençant comme la politique du gouvernement chinois a commencé à s'ouvrir vers le commerce de l'Ouest dans les produits de luxe. Selon son profil dans le New York Times, les circonstances qui l’avaient conduite à son succès est liées aux changements socio-politiques de la Chine combinées avec l'engagement personnel  de Pei et les idéaux de son imagination: La fille d'un chef de peloton de l'armée qui a ensuite occupé un poste de haut rang dans la régie du logement Etat, Guo Pei est né à Pékin en 1967, au début de la Révolution culturelle. Sa famille restée dans la capitale, et en 1982, elle s'est inscrite à des études de mode à Beijing. Guo Pei dit que ses maîtres n'avaient aucune connaissance de ce qui se passait en Europe au milieu des années 80, ce qui était l'apogée de Azzedine Alaïa et le début de John Galliano. Mais le manque d'information du monde n'était pas l’obstacle. Après avoir secrètement regardé un film qui présentait une scène de mariage, elle a demandé à un enseignant comment faire une immense jupe. '' Il a dit, 'Je ne sais pas, mais peut-être que vous pouvez trouver une solution dans des costumes pour l'opéra,'''  ''A ce moment, je suis tombé en amour avec les grandes choses.'' Après avoir obtenu son diplôme en 1986, elle a pris un emploi de conception de vêtements pour enfants. Il n'était pas question qu'elle trouve elle-même du travail. '' Le gouvernement vous a attribué un emploi'', Guo Pei gagne à ce moment  65 yuans par mois, l'équivalent aujourd'hui d'environ 10 $. Un an plus tard, elle s'installe dans une société de vêtements pour femmes, Tianma, où elle a provisoirement fait valoir ses idées. Tianma a été parmi la première génération d'entreprises privées à qui le gouvernement communiste dessert les contrôles. Le sombre uniforme Mao a progressivement disparu dans une mer de pastels et d’estampes, Guo Pei a décidé de demander au propriétaire 3% de chaque vêtement vendu. Elle était si sûr, dit-elle, que les femmes achètent ses créations. Finalement, les ventes ont atteint 100 millions RMB (environ 15 millions), mais bien avant cela, dit-elle avec un air de satisfaction, le propriétaire pressait de renégocier son contrat. En 1997, avec l'argent qu'elle avait sauvé, Guo Pei ouvre Rose Studio. Maintenant marié à Jack, dont la famille est propriétaire d'une entreprise textile de Taiwan, elle a décidé de poursuivre son rêve de robes sur mesure. Bien sûr, sa capacité à produire de tels costumes élaborés est également relié à la force de travail en Chine moins cher par rapport aux maisons-européennes, la demande croissante de ces produits de luxe par les épouses des dirigeants communistes et, désormais, une clientèle internationale croissante. Selon le New Yormes, elle avait formé une équipe de 300 employés spécialisés plus particulièrement dans la fabrication de ses robes, l'une, entièrement recouverte de panneaux dorés, a 50000 heures de broderies. Une autre robe, qui contenait 200.000 cristaux Swarovski, a été portée par l'actrice et chanteuse Zuying lors des cérémonies d'ouverture des Jeux olympiques de 2008 et a été achevé en deux semaines par une équipe de brodeuses qui ont travaillé à tour de rôle. Même Lady Gaga avait été l'une de ses clientes, mais les robes ont été trop lourdes et trop complexe pour elle à porter lors de ses spectacles

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